Première finale européenne et premier titre pour le Zénith Saint-Petersbourg, vainqueur mercredi des Glasgow Rangers en finale de la Coupe de l'UEFA.
Un succès logique pour Russes, dominateurs d'un bout à l'autre de la rencontre face à des Ecossais bien trop timides. «Je suis très heureux, a déclaré Dick Advocaat, le coach du Zénith, ancien mentor des Rangers. Gagner une compétition comme celle-là n'arrive pas si souvent. Nous sommes fiers pour le Zenit. Vu ce qu'on a montré dans cette compétition, on le mérite. Il fallait rester organisé, car même à partir de rien, ils pouvaient marquer. Et notre jeu, à base de passes rapides, coûte beaucoup d'énergie. Mais je crois qu'au final, c'est la meilleure équipe qui a gagné. Espérons que c'est un point de départ pour le football russe, que cela va s'accompagner de nouveaux stades, de terrains, des structures pour les enfants. L'argent est là. Si cela ne se fait pas, ce trophée sera anecdotique».
Andreï Arshavin, au four et au moulin pendant la finale, pense lui aussi que la victoire est méritée. «Dick Advocaat nous avait dit que nous devions gagner cette Coupe. Que si nous ne le faisions pas, cela voudrait dire que nous étions mauvais. A la mi-temps, il m'a dit d'être plus actif, d'aller de l'avant. C'est ce que j'ai essayé de faire. Je pense que nous avons contrôlé le match depuis le début. En première période, ils n'ont pas tiré une seule fois au but. On savait que si on marquait les premiers, on gagnerait».
La déception était forcément du côté des Rangers, après un non-match qui ne pouvait pas leur laisser espérer grand chose. «Le Zenit s'est montré plus offensif, a reconnu Walter Smith, le coach. Nous sommes bien sûr déçus d'avoir perdu. Dans l'ensemble, nous avons fait une excellente compétition, donc nous n'allons pas nous plaindre. Mais on n'a pas souvent l'occasion de jouer une finale européenne, alors perdre, c'est vraiment décevant. C'est difficile de dire à quel point la déception va avoir un impact sur notre fin de saison (les Rangers peuvent encore être champions et sont qualifiés pour la finale de la Coupe d'Ecosse). On va essayer de surmonter ça. On a encore quatre matches à gagner pour gagner deux trophées. On a une chance d'effacer cette déception. Pour voir ce qui nous a manqué, il faut regarder qui a été l'homme du match (le milieu du Zenit Arshavin). C'est ce qui nous manque. Un joueur qui fait des choses différentes. Nous travaillons, nous nous battons, mais il nous manque un peu de cette créativité».
Un succès logique pour Russes, dominateurs d'un bout à l'autre de la rencontre face à des Ecossais bien trop timides. «Je suis très heureux, a déclaré Dick Advocaat, le coach du Zénith, ancien mentor des Rangers. Gagner une compétition comme celle-là n'arrive pas si souvent. Nous sommes fiers pour le Zenit. Vu ce qu'on a montré dans cette compétition, on le mérite. Il fallait rester organisé, car même à partir de rien, ils pouvaient marquer. Et notre jeu, à base de passes rapides, coûte beaucoup d'énergie. Mais je crois qu'au final, c'est la meilleure équipe qui a gagné. Espérons que c'est un point de départ pour le football russe, que cela va s'accompagner de nouveaux stades, de terrains, des structures pour les enfants. L'argent est là. Si cela ne se fait pas, ce trophée sera anecdotique».
Andreï Arshavin, au four et au moulin pendant la finale, pense lui aussi que la victoire est méritée. «Dick Advocaat nous avait dit que nous devions gagner cette Coupe. Que si nous ne le faisions pas, cela voudrait dire que nous étions mauvais. A la mi-temps, il m'a dit d'être plus actif, d'aller de l'avant. C'est ce que j'ai essayé de faire. Je pense que nous avons contrôlé le match depuis le début. En première période, ils n'ont pas tiré une seule fois au but. On savait que si on marquait les premiers, on gagnerait».
La déception était forcément du côté des Rangers, après un non-match qui ne pouvait pas leur laisser espérer grand chose. «Le Zenit s'est montré plus offensif, a reconnu Walter Smith, le coach. Nous sommes bien sûr déçus d'avoir perdu. Dans l'ensemble, nous avons fait une excellente compétition, donc nous n'allons pas nous plaindre. Mais on n'a pas souvent l'occasion de jouer une finale européenne, alors perdre, c'est vraiment décevant. C'est difficile de dire à quel point la déception va avoir un impact sur notre fin de saison (les Rangers peuvent encore être champions et sont qualifiés pour la finale de la Coupe d'Ecosse). On va essayer de surmonter ça. On a encore quatre matches à gagner pour gagner deux trophées. On a une chance d'effacer cette déception. Pour voir ce qui nous a manqué, il faut regarder qui a été l'homme du match (le milieu du Zenit Arshavin). C'est ce qui nous manque. Un joueur qui fait des choses différentes. Nous travaillons, nous nous battons, mais il nous manque un peu de cette créativité».
AFP